Gouvernance

Le Conseil d’administration (CA)

Le conseil d’administration est composé de douze (12) membres représentant généralement les différents secteurs de la justice pénale au Québec ou issus d’un milieu intéressé par la justice pénale au Québec. (Art. 6.1. Règlements généraux)


Le Conseil consultatif (CC)

Le conseil consultatif se compose d’environ 30 membres choisis en raison de leurs connaissances, expériences et compétences dans un domaine relié à la justice pénale. 

Le CC siège pour conseiller la SCQ sur les orientations, les prises de position et suggérer les thèmes du congrès biennal. 

Ce conseil est convoqué au besoin par le conseil d’administration afin, soit d’approfondir un sujet d’actualité, soit d’aviser le conseil sur les orientations de la Société, ses prises de position ou ses actions nouvelles. (Art. 8. Règlements généraux)

Il s’agit principalement de gestionnaires :

  • Universitaires, Chaires de recherche
  • Juges, Direction des poursuites criminelles et pénales et Association des avocats de la défense de Montréal
  • Ministère de la Sécurité publique du Québec
  • Service correctionnel du Canada, Commission québécoise des libérations conditionnelles, Commission des libérations conditionnelles du Canada
  • Services de police provinciaux et municipaux
  • Organismes communautaires
  • Bureaux de la Protectrice du citoyen et de l’Enquêteur correctionnel
  • Ordre professionnel des criminologues du Québec 
  • Réseau de la Santé et des Services Sociaux

Composition

Afin de représenter le mieux possible tous les champs du système de justice pénale québécois, le conseil d’administration est composé d’administrateurs et d’administratrices bénévoles qui se réunissent sept fois par an lors des rencontres du conseil d’administration et de l’assemblée générale annuelle.


VICE-PRÉSIDENTE

Madame Hélène Simon

Représentante de la communauté

Hélène Simon détient une maîtrise en criminologie et une autre en administration publique. Elle est retraitée du ministère de la Sécurité publique du Québec où elle a été gestionnaire à la direction des affaires policières ainsi qu’aux services correctionnels. Elle a initié plusieurs services à la Société Élizabeth Fry au début de sa pratique. Elle a occupé le poste de directrice générale de la Société de septembre 2021 à mai 2022. Elle demeure une bénévole très active dans différents milieux.

Retour à la liste des nouvelles

Administrateurs et administratrices

Mme Béliveau est bachelière en criminologie et entame une 16e année de carrière aux Services correctionnels du ministère de la Sécurité publique. Elle a débuté à titre d’agente de probation, a ensuite effectué de la coordination d’équipes de professionnels et d’agents de services correctionnels en plus d’effectuer un passage dans le domaine de la sécurité et renseignement. Gestionnaire depuis 2018, elle est actuellement directrice générale adjointe de la modernisation et de la performance correctionnelle.

Diplômée en criminologie en 1978, Michèle Goyette a œuvré comme intervenante, gestionnaire, et cadre supérieur dans le réseau des Centres Jeunesse, auprès des jeunes contrevenants et des enfants en besoin de protection. Retraitée depuis 2014 du secteur public elle agit depuis comme consultante auprès de différents organismes, notamment des CISSS et CIUSSS, le gouvernement de la nation Cri, et le ministère de la Santé et des Services sociaux. Elle a aussi été présidente de l’Ordre professionnel des criminologues du Québec de 2018 à 2021.

Lucie Léonard, Directrice, Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité communautaire

 

Lucie Léonard détient une formation en criminologie, diplômée de l'Université de Montréal, et elle a travaillé aux niveaux local, national et international pour faire avancer les questions de prévention du crime et de sécurité communautaire. Elle est actuellement directrice du Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités à Statistique Canada. Elle est en charge de fournir des renseignements à la communauté juridique et au public sur la nature et l'étendue de la criminalité et sur l'administration de la justice au Canada. Elle a ainsi travaillé pendant plus de 25 ans dans le domaine de la prévention du crime et de la sécurité publique au ministère de la Sécurité publique du Canada et à Justice Canada.

Au fil des ans, elle a participé à l'élaboration et à la mise en œuvre de diverses initiatives locales, nationales et internationales axées sur une approche fondée sur des données probantes pour rendre les collectivités et les villes plus sûres pour tous. Elle a contribué à l'élaboration de lignes directrices sur la prévention du crime, y compris des données et des outils pour la planification et la réalisation d'interventions efficaces. Elle continue aujourd'hui à collaborer avec des organismes et agences nationaux et internationaux pour soutenir la mise en œuvre d'une prévention efficace de la criminalité et la collecte et la dissémination de données, en travaillant avec des partenaires et des parties prenantes pour réduire la criminalité et améliorer la sécurité des communautés par le biais de la prévention, du maintien de l'ordre et l’accès à la justice.

Biographie et photo à venir 

Milieu policier

 

Monsieur Pierre-Mathieu Viviers est à la tête de la Direction nationale du renseignement et de l’analyse de la Sûreté du Québec, avec le grade d'Inspecteur-Chef. Il détient une maîtrise en administration de l’Université du Québec à Trois-Rivières.

Policier depuis 2001, il a occupé plusieurs postes au sein de son organisation, notamment ceux de patrouilleur, enquêteur et gestionnaire d’enquêtes de crimes majeurs et de renseignement criminel. Il a contribué à la mise en place de nombreuses pratiques innovantes en matière de renseignement à la Sûreté du Québec et il est membre de divers comités nationaux en matière de renseignement policier.

Articles - Vignette

Diplômée en droit de l’Université de Paris II et en criminologie l’Université de Montréal, Marion Vacheret (Ph. D.), est professeure titulaire à l’École de criminologie et chercheure au Centre de Recherche en Droit Public (CRDP) de l’Université de Montréal.

Spécialiste de la prison, du système judiciaire et des politiques pénales canadiennes, Marion Vacheret travaille sur la prise en charge correctionnelle des adultes judiciarisés, tant dans la communauté qu’en institution carcérale. Ses travaux portent sur les vécus des condamnés, les pratiques professionnelles des intervenants et les politiques correctionnelles. Ses recherches interrogent plus particulièrement l’expérience des acteurs dans les organisations juridico-pénales et questionnent les fonctions de la peine dans l’archipel pénal. Elle est autrice de plusieurs ouvrages et articles scientifiques.

Marion Vacheret a été membre puis présidente du conseil consultatif de citoyens de l’établissement fédéral Leclerc jusqu’à sa fermeture. Elle a également siégé pendant 4 ans au conseil d’administration de l’Observatoire International des prisons et 4 ans au conseil d’administration de l’Association des Services de réhabilitation sociale du Québec.

D’origine française, Anne-Ophélie a tout d’abord étudié la sociologie et l’anthropologie en Belgique avant de venir poursuivre ses études en psychologie et criminologie à Montréal. Après dix ans d’intervention dans le milieu communautaire, notamment auprès des femmes en difficultés, elle a, il y a peu, rejoint l’équipe de l’ASRSQ en tant qu’agente à la formation puis coordonnatrice. Anne-Ophélie est aujourd’hui honorée de représenter le milieu communautaire au sein de la Société de Criminologie du Québec et de collaborer avec les travailleurs de tous horizons pour promouvoir la justice pénale.

Gestionnaire expérimentée et consultante aguerrie, madame Grenier cumule plus de 20 ans d’expérience en gestion, communications stratégiques, partenariats, relations avec les communautés et les parties prenantes.

D’abord comme cadre supérieur dans le réseau de la santé, où elle a à son actif des réalisations touchant à toutes ses missions, incluant la mise en place de services et d’équipes novatrices, elle a depuis parfait son agilité en consultation stratégique auprès d’ordres professionnels, d’établissements privés conventionnés, de cliniques privées, d’associations de spécialistes et d’organismes communautaires, notamment. Ayant eu l’opportunité de siéger à des nombreux comités stratégiques dont une instance ralliant les élus provinciaux et municipaux, les rouages de l’appareil municipal et ceux du réseau de la Santé n’ont plus de secret pour elle.

Depuis trois ans, plus d’une quinzaine d’organisations lui ont fait confiance pour mener à bien leurs projets stratégiques.